Marie notre mère

                    JE SUIS

                                                                                                 Regarde devant toi et dis lui combien tu es là.

 Comme couché à côté d’elle tu veux rester bercé au gré de son souffle, protégé par sa chaleur, aimé par son cœur, noyé dans l’océan de ses yeux, tourné vers la lumière tu veux être projeté vers l’infini, comme propulsé dans les étoiles entouré des milles sons de sa véritable chanson.

Marie soyez bénie car mère de lui par l’esprit saint elle pardonne et donne autant que tu peux recevoir et la fin devient le commencement  d’une grande tendresse pour une nouvelle jeunesse qui verra se brûler le temps du passé pour donner un nouvel aspect de cet amour naissant sans perdre une seule fois le  goût de cette nouvelle source.

 Pantomime d’un rêve, qui laisse abusivement saignée les cœurs  et s’ouvrir la porte des douleurs,  pour mieux définir le vrai chemin qu’il est toujours plus facile de faire à deux.

 Les grands jardins ouverts à tous,  raisonnent maintenant du chant du bonheur, de joie, d’amour que nous donnons au nom de lui.

 Marie retrouve ses petits,  et comme l’homme prés de sa promise, soudé à un amour plus fort et plus doux  se sent attiré sans vouloir fuir, il aime Marie,

 Mais Marie est ce qui EST.

Vous êtes ce qui EST.

Emplissez vos cœurs de cette vérité,  et vous aurez moins de mal  à supporter ce passage.

 Soyez sûrs  que par-devant tous et toutes, existent autres jours qui seront les votres dans la lumière de notre Seigneur qui vous donnera ce que vous êtes en droit d’attendre en amour, paix, sérénité, bonheur.

Soyez bénis enfants de Dieu et que sa lumière brille en vous pour l’éternité.

Bien à vous sa lumière

message  du 04 Avril 1998 (19h00)