Didier et Véronique

Bonjour à tous.

Didier est un homme banal, il s’est marié le huit juillet mille neuf cent soixante cinq avec Véronique qui n’était en réalité que Julien.

Ils sont restés ensemble sept ans.

Un jour, Véronique est partie faire des examens, elle n’est jamais revenue.

La gendarmerie a retrouvé la voiture, Véronique avait bien été chez le médecin, elle avait attendue longtemps, car il y avait beaucoup de monde.

Après ce périple, rien. La gendarmerie ne pouvait mener une enquête.

Il est peut-être possible qu’elle ait été agressée par des personnes malveillantes?

Didier revenait souvent vers la gendarmerie, il attendait que l’on veuille bien lui accorder un instant.

Son cœur espérait que Dieu lui rendrait sa vie avec son épouse.

Les gendarmes prenaient le temps de parler avec lui.

Cela faisait huit ans et cet homme avait toujours aussi mal dans son cœur.

Une plaie béante qui déchire l’âme qui a tellement priée que plus de larmes ne coulaient.

Ce que nous écrivons a été demandé par Véronique ; en tant que guide, nous aiderons à la construction de l’âme.

 « Didier, nous avons entendu, par delà ton aura et ta lumière le mal qui te ronge. Nous allons te narrer ce qui s’est passé.

Cette journée, était des plus chaudes, Véronique attendait chez le docteur et une fois sortie, elle est allée boire une orangeade. Des jeunes gens jouaient et se sont interrogées de voir une aussi belle femme, ils lui ont proposé de la ramener chez elle, mais très vite, ils ont dépassé l’entendement. Ils ont déchiré ses vêtements, alors qu’elle les menaçait de déposer plainte à la gendarmerie. Ils l’ont maltraitée, violée et étranglée puis ils ont jeté son corps dans le fleuve.

Personne n’a jamais revu Véronique.

Elle a eu très mal de ne pas faire partie de la vie de Didier.

Ce que nous te transmettons est la volonté de ton épouse.

 « Continue à vivre et aime une autre âme, mon destin était ainsi ; le tien m’a beaucoup manqué. » 

  « Il me faudra beaucoup de temps pour recommencer à aimer.

Je voudrais Seigneur, que vous me donniez une femme dont l’esprit et le cœur soient aussi forts que l’amour que j’aurai toujours pour elle. »

Les auteurs de cette horreur ont tous payé de leur chair et de l’esprit.

« Vous êtes dans un monde qui change et vous obligera à évoluer, dans le bien , la sagesse et l’amour d’autrui. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie à condition :

Qu’il ne soit ni coupé ni modifié et que vous fassiez référence

Au site : http://leportaildesames.over-blog.fr