Svetlana ma petite fille

Publié le par le portail des ames

 

Marie-et-lEnfant-Jesus.jpgBonjour à tous,

 nous allons vous narrer la vie d’une femme dans le village Wilamow en Pologne dans la voïvodie de Lodz.

 

J’ai été appelé par l’âme d’une femme qui cherche encore une enfant dont elle a été la mère adoptive.

Elle vivait dans une maison de terre, sans électricité, avec deux pièces comme toit.

 Le puits était sur le côté de la porte de sortie et la cheminée trônait,

habitée par de grosses flammes.

Cette dame était assise sur un tabouret, elle mangeait et me regardait.

Je lui demandais ce qu’elle attendait de moi, et en qu’elle année elle vivait.

  « - Nous sommes au mois de mars 1807, et le dix de ce mois.

Je n’ai toujours pas retrouvé Svetlana ma petite fille que j’aime.

 Les soldats russes sont des monstres, ils travaillent à nous épuiser, et leurs officiers, prennent tous les petits enfants pour les travaux pénibles.

Qui êtes- vous ? »

  « - Je ne suis pas dans votre monde, et je ne perçois pas votre langage. Je reçois plusieurs messages sans les comprendre, et j’essaie de vous aider dans la mesure de l’intensité de force que vous déployez ».

Cette amour a le droit d’appeler une petite âme, fut-elle un petit enfant de sept ans.

Après avoir demandé à la petite fille, qui, dans le temps a grandie et habite en cette époque avec un cordonnier, j’ai eu la grande chance qu’elle me donne un médaillon pour cette vieille femme.

Je me suis retrouvé dans cette année 1807, j’ai revu cette dame et je lui ai remis le médaillon. Elle l’a pris entre ses deux mains, elle m’a regardé intensément. Ses beaux yeux bleus laissent couler des petits glaçons d’amour, puis elle dit :

  « - Je ne sais pas qui vous êtes, mais je sais que vous portez l’amour de mon enfant et je vous en suis reconnaissante. Ce monde n’est pas le vôtre ; j’ai prié et vous êtes venus. Je suis heureuse pour elle et je peux enfin rentrer chez notre Père l’âme tranquille ».

  Je ne sais pourquoi j’ai suivi le message qui m’a amené vers cette dame âgée.

Ce que j’ai ressenti est comme un devoir de rendre à toutes les mères,

l’amour de leurs enfants.

 

 

 

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