L'amour de son prochain, plus fort que sa vie

Publié le par le portail des ames

main en coeur« Je parle » dit cet homme qui m’appelle et je ne comprends pas ce qu’il demande

Je reviens dans mon Moi, j’essaie de reprendre conscience et soudain je perçois un homme dont l’âge ne peut être  trouvé

Ses yeux sont noyé de larmes, il me parle et me raconte son histoire.

Il habite dans un petit village où les maisons sont faites de terre,  la forêt qui les entoure est dense, l’eau coule comme douche qui ne veut pas mourir.

Lors d’une fête, femmes, enfants et anciens se préparaient à festoyer, les jeunes gens sortaient leur tambours bariolés de couleurs vives, chacun essayant de faire de son mieux, ceci les faisait rire à en pleurer et en rire encore.

C’était une belle journée qui s’annonçait.

La forêt est dense au point de voir très peu le soleil, c’était splendide de beauté et de candeur.

La tribu s’est réunie et tout le monde parlait, comparait et mangeait, quelle belle journée !

Soudain une trompe criait si fort que tous et toutes courraient vers leurs maisons en bambou, soudain des hommes  habillait de vêtement kaki, traversaient les cimes des grands arbres et se cachaient sous la grande couverture marron qui les maintenait en l’air.

Je suis rentré dans ma case avec ma femme mes filles et leurs enfants car tous les hommes étaient attachés.

Ils seront désormais les esclaves des mines d’or et mourront au tréfonds de la terre.

Pourquoi faire tant de mal à ces hommes qui n’ont fait que partager ce qu’ils avaient : nourriture, amour et écoute.

Lorsque je suis sortis de ma case, les soldats ont attachés les enfants les plus robustes et ont tués à la machette les tout petits, ils ont violé les femmes et les filles et ont tués celle qui ne pouvait rien donner.

J’étais horrifié de voir que les génies du mal riaient à gorge déployée puis deux soldats s’approchèrent de moi, le plus jeunes me projeta à terre et mettant mes bras en évidence il s’assit sur ma tête  puis on me coupa les bras au niveau du coude j’ai voulu me relever alors le boucher me coupa les deux jambes.

Ils reviennent vers moi et me tapaient à grand coup de pied puis me laissèrent tomber dans une flaque d’eau boueuse je suis mort dans cette flaque après avoir été torturé.

 

Que Dieu pardonne à ces hommes d’avoir été aussi  horribles pour eux mais aussi

 pour les leurs.

Dieu seul saura ce qu’il faudra faire pour que l’Ame ressente ce qu’elle à fait

 

 

 

 

Publié dans ECRITURE AUTOMATIQUE

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A
<br /> Cette violence est tellement extrême et inutile que cela laisse sans voix... Comme c'est l'âme elle-même qui se juge et plutôt durement après la mort.........<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> <br /> L'ame se juge ,c'est exact , mais elle devra également vivre l'épreuve afin que plus jamais elle n'oublie que seul l'amour est important pour pouvoir s'elever<br /> <br /> <br /> <br />